Des compétences et des expertises reconnues sur le continent et à travers le monde
Formés pour résoudre des problématiques complexes
Et faire face aux exigences d’un monde, d’une économie en constante mutation.
Génie Civil | Infrastructures indispensables au développement |
Un pays ou un espace économique ne peut envisager son développement, son rayonnement sans disposer d’infrastructures (routes, ponts, batiments) indispensables pour soutenir et accompagner les opérateurs économiques.
Les ingénieurs Génie civil de Yamoussokro sont depuis des décennies les acteurs clés dans la réalisation des infrastructures dans la sous-région.
Issue de lycées scientifiques et techniques, les ingénieurs de Génie civils reçoivent une formation de haut niveau qui leur offrent des atouts pour travailler dans tous les domaines du génie civil (Logistique et transports, Aménagement, Equipement, Construction, Industrie et environnement).
Ils interviennent notamment en Conseil au sein de cabinet d’architecture ou en tant que directeurs d’organismes nationaux chargés de la planification des infrastructures du futur.
Agronomie | Technologies pour la biodiversité et acteurs de l’amélioration de la production agro-pastorale |
Les problématiques de l’agronomie, des biotechnologies végétales, de la production animale, les problèmes écologiques et la préservation de l’environnement, ainsi que les problèmes de l’économie agricole en zone rural constitue des défis majeurs pour le tiers monde mais aussi pour les pays développés.
Face à un acroissement démographique très prononcés depuis les indépendances, les pays du tiers monde doivent mettre en place des techniques agricoles afin de produire les ressources animales et végétales nécessaires pour leur population.
Le cursus des ingénieurs agronomes créé au préalable à Abidjan puis transféré à Yamoussokro à l’ENSA (aujourd’hui INPHB Nord), forme en 3 ans après deux années de classes préparatoires Sup-Spé/Bio des ingénieurs dans les domaines de l’agronomie, de l’agro-alimentaire, des agro-industries et de l’environnement.
Les ingénieurs agronomes sont les acteurs essentiels dans la recherche et le développement de techniques de production agro-pastorale dans le but d’atteindre l’autosuffisance alimentaire pour les pays du continent.
Hautement spécialisés en chimie, en génétique et en science de la nature à l’issue de leur formation à Yamoussokro, les ingénieurs agronomes complètent leur formation par des imersions dans des universités et écoles d’ingénieurs européennes afin d’approfondir leur connaissance.
Electronique/Informatique | Bienvenue dans un monde digital |
Depuis des décennies, l’electronique et les technologies de l’information se sont imposés à tous les secteurs de l’économie mondiale. L’émergence de l’electronique embarquée,des technologies Mainframe, des technologies client/server, des bases de données pouvant heberger des « giga », des « pinta » octets de données, des technologies web a radicalement changé la manière de faire du business sur les cinq continents.
Très tôt, les fondateurs des écoles d’ingénieurs de Yamoussoukro ont perçu ses mutations et ont créé l’ENIS (option Electronique) et l’ES2I (école des ingénieurs informaticiens).
Aujourd’hui intégré dans les filières de formation des ingénieurs électroniciens et informatiiciens de l’INPHB, les cursus conçus à l’époque pour l’ENIS et l’ES2I continuent de former des ingénieurs de haut niveau dans les domaines de l’électronique et de l’informatique.
Les cursus sans cesse adaptés aux évolutions de l’électronique et de l’informatique permettent aux ingénieurs d’être en phase avec les dernières technologies électroniques et la conception de système d’information (Java, .net, Oracle, SAP, PeopleSoft, Scripting…), respectant tous les standards du marché et les méthodologies et normes en vigueur (ITIL, CMMI, ISO 9001/2000/20000xx).
Industrie | Le socle de toute économie |
L’industrie est la cheville ouvrière des innovations technologiques et du développement économique dans le monde moderne. En effet une nation sans industrie lourde (métallurgie, sidérurgie) ou légère (fabrication de pièces) est contrainte d’importer des éléments éssentiels (ciments, cables elctriques, pièces de rechange, …) à la construction d’infrastructures clés (routes, ponts, immeubles, télécommunications, réseaux férrés…).
La maitrise du processus industriel a permis à certains pays de passé du statut de pays sous développés à celui de pays emérgeants (BRICS)
Les ingénieurs de l’INPHB sont formés pour contribuer à l’émergence d’une industrie productrice des éléments clés pour l’emergence des pays africains dans les décennies futures.
Mines & géologie |
Grâce à l’essor de l’industrie du pétrole et à la decouverte de nouvelles mines d’extraction de métaux rarers et de métaux précieux, le secteur des mines a connu une explosition d’activité au cours des dernières decennies sur le continent. Dès lors les autorités de l’INPHB ont décidé la création d’une filière de formation d’ingénieurs spécialement dédiée aux mines et géologies.
Grâce à un cursus a cheval sur le Génie civil et l’industrie, les ingénieurs Mines et Géologies maitrisent les techniques de base de la mécanique des fluides, de la mécanique quantique ainsi que des méthodes de prospection, de forage et d’exploitation des mines.
Ils sont ainsi des acteurs incontournables pour les sociétés minières implantés en Afrique et disponsesnt de compétences leur permettant de travailler pour des sociétés nationales ou multinationales au niveau mondiale.
Telecom |
Les innovations dans les domaines des réseaux et télécom ont permis l’essor de nombreux secteurs économiques dont la téléphonie fixe, la téléphonie cellulaire, la voix sur ip, basée pour l’essentiel, sur la transmission ou la retransmission d’informations, de données (sons, images…) et d’événements majeurs à travers le globe.
Disposant de compétences au cœur des technologies de télécommunications (fibre optique, réseau de neuronne, satellite, réseau lan/wan, ethernet/internet) les ingénieurs de Yamoussoukro sont des acteurs majeurs de l’industrie des telecoms impliques dans la lutte du continue en vue de réduire l’ampleur de la « fracture numérique » avec les pays du Nord.
Ils apportent également leur expertise aux entreprises à l’echelle mondiale.